Union de la gauche : un travail continu
Nous avons organisé, en compagnie de Caroline Fiat, Benjamin Lucas et Sandrine Rousseau, un meeting de la NUPES à Charleville-Mézières qui a attiré beaucoup du monde.
De nombreux sujets on été évoqués, parmi lesquels
- l’autoritarisme antidémocratique des macronistes qui interdisent tout jusqu’aux casseroles
- la dénonciation et la défense des services publics accessibles et dignes pour tous
- les superprofits
- ou encore la santé qui est plus que jamais mise à mal par la logique de rentabilité.
“Tous les outils les plus iniques de 5e République sont utilisés pour museler les représentants de la nation. Notre démocratie est en danger, seule la NUPES propose une alternative démocratique avec la 6e République.”
“Toute notre énergie devait être consacrée aux moyens de transports accessibles, aux hôpitaux, nous n’avons pas besoin que le PDG de Total distribue des milliards aux actionnaires.”
“L’idéal du bonheur, c’est le partage du temps du travail, le droit à la paresse parce que : qui sont les paresseux aujourd’hui dans la société, si ce n’est les actionnaires et les rentiers ?”
“Hier, on a supprimé le droit d’amendement des députés, sommes nous toujours en démocratie ? Les macronistes utilisent les règles seulement quand ça les arrange.”
J’ai également participé à la fête de l’Humanité à Strasbourg sur l’avenir de la gauche. Là encore le maître mot de mon côté a été l’unité de notre camp. Les travailleurs ont trop besoin d’une victoire des idées de gauche pour que nous nous focalisions sur nos différences plutôt que sur ce qui nous lie.