Je porte plainte pour diffamation

Dans un climat politique de plus en plus marqué par la désinformation et les attaques personnelles, il est essentiel de rétablir la vérité face aux mensonges diffusés sur les réseaux sociaux. Récemment, un tweet mensonger a été publié prétendant que mes enfants étaient scolarisés dans un établissement privé catholique. Ce mensonge repose sur une base totalement fausse : je n’ai pas d’enfants.
Cette tentative de manipulation illustre une stratégie bien connue et malheureusement de plus en plus répandue : discréditer les responsables politiques en leur prêtant des comportements ou des choix qui ne sont pas les leurs, dans le but de détourner l’attention des vrais débats. La diffamation n’est pas un simple outil de polémique, c’est une infraction pénale, passible d’une amende pouvant aller jusqu’à 45 000 euros.
Face à cette atteinte à mon honneur et à l’ère de la post-vérité, je ne transige pas. La propagation de fausses informations doit être combattue avec la plus grande fermeté. C’est pourquoi j’ai décidé de déposer plainte auprès du procureur de la République. La démocratie repose sur un débat public sain, où les divergences d’opinions s’expriment dans le respect et la transparence. Permettre la propagation de rumeurs et d’accusations infondées, c’est affaiblir notre vie démocratique et nourrir la défiance envers les institutions.
Je continuerai à me battre avec conviction pour que le débat politique se fonde sur des faits et non sur des calomnies. La justice devra faire son travail, et je poursuivrai mon engagement sans me laisser détourner par ces attaques indignes.