La loi anti-locataires est votée, elle organise la traque contre les plus précaires, la trêve hivernale vient de se terminer : des milliers de familles sont en sursis notamment à la rue de Bourgogne.
J’ai donc décidé, au vu de l’urgence d ela situation, d’interpeller à nouveau la Préfète sur cette question, après un premier courier envoyé le 16 novembre dernier.
Dans la continuité de cette action, je soutiens les habitant·es occupant des immeubles vacants rue de Bourgogne. Il est nécessaire d’établir un accompagnement social fin et développer l’accès aux droits fondamentaux grâce à un diagnostic social. C’est la condition pour proposer des solutions d’hébergement adaptées aux familles comprenant des enfants scolarisé·es et des personnes soufrant de graves problèmes de santé. Les personnes isolées en situation irrégulière ont également le droit de bénéficier d’un accompagnement social !
